En ce dernier dimanche d’avril, la France s’est recueillie pour commémorer la Journée nationale du souvenir des victimes de la déportation. Cette année, cet hommage revêt une signification encore plus profonde alors que nous célébrons le 80e anniversaire de la libération de notre pays.

Cet événement nous rappelle les horreurs du passé et souligne la nécessité de préserver la mémoire collective. Des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants ont été déportés, arrachés à leur foyer et à leur famille par le régime nazi, simplement parce qu’ils étaient juifs, tsiganes ou résistants. Leurs vies ont été brisées, leurs histoires tragiquement interrompues.

Aujourd’hui, alors que les désordres du monde continuent de causer la souffrance de tant d’innocents, il est essentiel de se souvenir. En honorant la mémoire des victimes de cette tragédie, nous nous engageons à transmettre l’Histoire à travers les générations. Nous refusons de laisser la place à l’oubli.

Cette journée est un rappel poignant de notre devoir de mémoire.