Selon les études, « plus d’une femme sur trois dans le monde affirme avoir été exposée à des violences physiques ou sexuelles au cours de sa vie ». Les bouleversements géopolitiques ainsi que les effets de la pandémie mondiale nous rappellent combien le combat en faveur des droits des femmes demeure une priorité.
Alors que nous fêtons les 10 ans de la convention d’Istanbul, premier instrument juridique contraignant à l’échelle internationale, 6 pays de l’Union européenne ne l’ont toujours pas ratifiée.
J’ai interrogé les co-rapporteures sur l’opportunité que représente la Présidence française du conseil de l’Union européenne en matière d’égalité femmes-hommes et de lutte contre les violences faites aux femmes.