L’explosion de la demande de livraison expresse à domicile a marqué une véritable rupture dans nos modes de consommation, qui s’est particulièrement accélérée au moment de la pandémie, notamment dans les centres urbains. Elle porte en elle de nombreux enjeux dont doit se saisir la puissance publique : permettre une intégration apaisée dans les centres urbains, lutter contre les distorsions de concurrence et veiller à assurer les standards les plus exigeants en matière de droits sociaux et de protection de l’environnement. C’est le sens du rapport que j’ai présenté le mardi 3 mai en Commission des affaires économiques.
Ce travail, rassemblé autour de 24 propositions, est le résultat d’intenses mois de travail et d’auditions de nombreux acteurs du quick commerce.
En ressort une conviction profonde : il nous faut réglementer beaucoup plus clairement cette nouvelle économie pour en garantir des bases sociales comme écologiques durables. C’est ce à quoi je continuerai à m’atteler.
Vous souhaitez en savoir plus ? Voici une vidéo reprenant les principales conclusions de mon rapport.